Les semailles d’Isaac

Les semailles d’Isaac

Isaac poursuit sa vie sur le même chemin de foi – et dans les mêmes travers – que son père Abraham. Voici le temps où il “fit des semailles. Il récolta le centuple de ce qu’il avait semé.” Nous ne savons pas quoi. Mais lors d’une récolte normale, la multiplication se fait par 30 ou 40. Si elle se fait par 100, c’est une bénédiction de Dieu, un cadeau – pas une simple récompense.

Qu’est-ce qu’un pasteur persévérant et fidèle peut semer dans l’Église ?

L’amour, la foi, un exemple de témoignage, la connaissance, etc. Dieu le bénit, lui et toute la communauté.

Que va-t-il alors récolter ?

De la maturité, des liens d’amitié et d’amour, de nouvelles compétences pour aller vers de nouveaux défis, etc.

Semer

peut se faire dans la joie, mais aussi dans la difficulté et même dans les larmes, (Ps 126.5-6).

A l’époque d’Isaac, une partie de la récolte pourvoyait aux besoins de l’exploitant. Le reste était indispensable pour les prochaines semailles.

Dans un ministère, une partie de la récolte sert à “nourrir”

le pasteur : sa foi, son espérance, etc. ; l’autre partie sera semée dans la suite de son ministère.

Questions :

  • De quoi sont faites mes “semailles” (amour, foi, exigences, jugement, etc.) auprès de mes proches, collègues et autres ?
  • Suite à mes semailles, de quoi se compose ma récolte ?
  • Quelles difficultés est-ce que je vis lorsque je sème du bon grain ?
  • Que se passe-t-il lorsque je sème du mauvais grain ?
  • En quoi les difficultés peuvent-elle m’empêcher de semer du bon grain ?

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