(2) Sois fort – Réussir ses échecs ?

(2) Sois fort – Réussir ses échecs ?

Culte 4D

Tout le monde veut réussir, mais tout le monde ne sait pas comment. Les librairies nous proposent beaucoup de méthodes. Dès l’école, il y a une pression pour réussir dans tous les domaines de la vie. C’est à cette échelle que nous serons évalués par les autres et par nous-même. Pourtant, l’échec nous guette et peut faire mal. Que veut dire échouer ou réussir, voir Lc 9. 25 ?

Micro-Villard :  Question : Que veut dire pour vous réussir ? Réponses : Echouer ou chercher à réussir sont des vanités – Echouer, c’est pénible, réussir c’est répondre aux attentes des autres – C’est se mettre en activité et entreprendre – C’est apprendre à aimer.

1)  Echec des disciples Mc 9.14-29 :  choisis par Jésus, ils ont reçu l’autorité pour guérir et chasser les démons. Pourtant, ils sont impuissants devant  un père désemparé. Leur échec est d’autant plus cuisant qu’il se passe devant la foule et devant  les religieux. Comme quoi, l’échec arrive aussi aux meilleurs, mais comment le gérer.

Témoignage de V.S. : mon premier mariage fut un échec. La réussite fut de rencontrer quelqu’un qui m’a ramenée à Dieu.

2)  L’échec des disciples permet à Jésus de venir à leur secours :

l’échec  permet l’intervention de Dieu, encore faut-il faire appel à Lui. Si je crois que Jésus agit aujourd’hui,  je peux prendre le  risque de la foi afin de voir Jésus à l’œuvre (prier pour une situation, par exemple) avec le risque d’être confronté à l’échec.

3)   L’échec des disciples leur permet de vivre un moment intime avec Jésus v.28.

Ils peuvent poser des questions et recevoir des paroles fortes de Jésus qui sait quoi faire des échecs.

Petits trucs pratiques face aux échecs :

1) Oser exprimer ce qui bout en soi.

2)  Regarder son échec en face avec les difficultés qui y sont liées puis voir  tout ce qui est positif dans sa vie.

3)  A  la fin de chaque journée, penser et écrire au moins  3 choses positives , même petites, vécues dans la journée.

Les échecs sont inévitables :

notre valeur ne dépend ni de nos réussites  ni de nos échecs. Elle dépend  de la certitude d’être un enfant de Dieu  aimé. Si notre  valeur dépendait d’abord de nos  réussites, nous vivrions sous une grande pression, nous aurions de la difficulté à entreprendre des choses  risquées  et à mettre notre  foi  en action.

Questions

  • Quels sont mes plus grands  échecs et comment les ai-je vécus ?
  • Pour moi, qu’est-ce que la réussite ?
  • Qu’est-ce que je mets en place pour être dans la réussite ?
  • Quels risques de la foi ai-je osés  prendre qui auraient pu conduire ou ont conduit à l’échec ?

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